Grenoble INP Rubrique Institut 2022

Globalement, les écoles de Grenoble INP progressent encore au classement de L’Etudiant

Le palmarès 2011 des écoles d’ingénieurs de l’Etudiant vient de paraître. 163 des 190 écoles dont les formations sont habilitées par la CTI (99 écoles qui recrutent à bac + 2 et 64 écoles à bac) ont été classées en 5 groupes (de A+ à D).
Le groupe « A + » compte dix écoles après prépa (Polytechnique, Centrale Paris, Mines ParisTech, Supélec, Ponts ParisTech, AgroParisTech, Isae, Arts et métiers ParisTech et Centrale Lyon) et une école après bac (Insa Lyon).
Le groupe A compte quant à lui 18 écoles recrutant après bac + 2 (Centrale Nantes, Ensta ParisTech, Centrale Lille, Mines Nancy, Grenoble INP-Ensimag, Télécom Bretagne, Grenoble INP-Phelma, ESPCI ParisTech, Grenoble INP-Ense3, Centrale Marseille, Mines Saint-Étienne, Chimie ParisTech, Télécom SudParis, SupOptique, Mines Nantes, INP Toulouse Enseeiht, ESTP, Grenoble INP-Génie industriel) et deux écoles postbac (UTC et Insa Toulouse).
Les groupes B, C et D comptabilisent respectivement 49, 62 et 21 écoles, tous niveaux d'entrée confondus. « Les groupe B et C concentrent la majorité des établissements », souligne L'Etudiant.

Les écoles de Grenoble INP réalisent globalement à nouveau une belle performance : Sur 99 écoles classées à bac +2, au classement géneral :

    * l'Ensimag est 14ème (12ème en 2010). Elle est au groupe A.
    * Phelma est 17ème (19ème en 2010). Groupe A.
    * Ense3 arrive 19ème (23ème en 2010) Groupe A.
    * Génie industriel se classe 28ème (29ème en 2010) Groupe A
    * Pagora est 55ème (45ème en 2010) et appartient au groupe B.

Dans la catégorie des écoles à niveau bac, Grenoble INP - Esisar compte parmi les 20 écoles du groupe B et réalise encore une progression spectaculaire : 29ème en 2009, 19ème en 2010, elle passe au 7ème rang ex-aequo au classement 2011, sur 64 écoles classées.

Bravo à tous pour ces résultats !

Méthodologie

La méthodologie du classement 2011 est proche de celle utilisée en 2010.

  • Le niveau académique (coefficient 40) est jugé à l'aune de la moyenne au bac des étudiants recrutés, de la durée maximale d'habilitation de la CTI, de la performance en recherche établie en fonction de « plusieurs critères (nombre de publications dans des revues internationales à comité de lecture en 2009, évaluation des laboratoires de recherche par l'État...), du chiffre d'affaires des contrats de recherche signés par des enseignants-chercheurs de l'école et du nombre de doctorants.
  • La proximité avec les entreprises (coefficient 40) repose sur le salaire de base à l'embauche, la participation des entreprises au financement de l'école, le montant de la taxe d'apprentissage et le nombre d'ingénieurs diplômés en activité.
  • Enfin, l'ouverture internationale (coefficient 20) prend en compte le pourcentage d'étudiants étrangers diplômés, le pourcentage de Français double-diplômés, le nombre d'accords de double diplôme conclus avec une université étrangère, le nombre d'étudiants étrangers lauréats d'une bourse d'excellence Eiffel et les actions labellisées Erasmus Mundus.

La rédaction de L'Etudiant souligne que « dans le groupe A, tous les établissements, excepté l'ESTP, appartiennent à un réseau ou une marque forte : Télécom, Mines, Centrale, INP, ParisTech, dans la catégorie « après bac + 2 », INSA et UT dans les écoles « après bac ». Des appartenances qui offrent une visibilité certaine et une mutualisation de moyens profitable. » Le magazine rappelle également que, selon une étude de la CDEFI, « ces 20 dernières années, le nombre d'élèves ingénieurs a doublé, passant de 57 700 en 1990 à 122 000 en 2010 ».

Lire le classement sur le site de letudiant.fr

Contact :
Christine Escafit