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Grenoble INP au cœur de l'EcoCité grenobloise

La fin de la 12ème semaine européenne de la mobilité, soutenue par le ministère délégué aux Transports, est l'occasion de faire le point sur les actions menées par Grenoble INP pour inciter ses personnels et étudiants à modifier leurs habitudes de déplacement en faveur des modes de transports « doux ».



Prendre sa voiture pour aller travailler sera bientôt dépassé. Les français l'ont bien compris, et les grenoblois plus encore. A la clef : réduction des émissions de gaz à effet de serre et diminution des flux de véhicules dans les agglomérations.
La dernière Enquête Ménages Déplacements du Syndicat Mixte des Transports en Commun de l'agglomération grenobloise (SMTC), montre que l'usage de la voiture a chuté de 18% entre 2002 et 2010. Elle a, de plus, perdu du poids face aux autres modes de déplacement. De 53% de part modale il y a dix ans, elle représente 48% aujourd'hui. Mais des progrès sont encore possibles. Si l'on peut se réjouir du recul de la voiture, son taux d'occupation est lui resté stable entre 2002 et 2010 : 1,3 personne. On peut faire mieux !
Pour inciter ses personnels à voyager à plusieurs, Grenoble INP participe à faire évoluer les sites de co-voiturage existants de façon à mieux répondre à leurs besoins. « Nous travaillons actuellement avec le CAESUG, qui gère un site de co-voiturage s'adressant aux salariés de la Presqu'île et du campus, pour le faire évoluer de façon à mieux gérer le nomadisme entre les deux sites, explique Jean-François Béteau, vice-président développement durable de Grenoble INP. Concrètement, on pourra arriver le matin sur la Presqu'île et repartir le soir du campus, et vice versa. » Le Conseil Général de l'Isère devrait même fusionner les différentes bases de données de co-voiturage existantes pour proposer un site de co-voiturage unique pour l'Isère d'ici 2014.

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